mercredi 10 janvier 2018

Introspection personnel


Introspection Final

Cet atelier et ce projet furent pour moi une occasion de sortir des sentiers balisé de l'architecte. D'utiliser les connaissances qu'on avait pour appréhendé une matière vaguement vu ou voir inconnu à nos bataillons. 

Dès le départ, mon collègues et moi-même nous nous mirent à rêver de produire de l'eau directement puiser de l'air. L'idée, plus qu'alléchante, avait même été potentiellement déjà produite avec la fontus. Oh la fontus, beau doux mirage, un devise utilisable partout, transportable, produisant de l'eau avec de l'air, mais, pourtant il ne fonctionnait tout simplement pas. 

De là, la recherche fut diriger, nos envies étaient clair mais le chemin pas du tout. On voulait avoir un devise produisant de l'eau avec de l'air transportable et peu encombrant. Mais comment y arriver? 

Le chemin fut rude ce semestre. Après une première recherche et une tentative de solution avec l'effet venturi, soldé par un échec. Nous sommes repartis dans les recherches et les échecs. Puis l'idée d'utiliser la rosée pour condensé l'eau nous est venu comme une évidence. Nous avons vu ce qui faisait à travers le monde, en Inde ou encore avec Opur. Et même si leurs technologie était bonne. il y avait de nombreux point qui nous déplaisait. L'impacte paysagé pour n'en citer qu'un. On s'est demandé qu'est ce qu'on peut apporter ou essayer de trouver comme alternative a cette solution. et c'est là que nos travaux on continué. 

On a retouché à l'échec en essayant de rajouté une texture sur du plastique avec un vacuum former pour reprendre un virage, abandonnée la bâche plastique en  polyéthylène et se diriger vers le textile. Principalement, le tissus qu'on peut retrouver sur les tentes de camping. L'idée est venu de notre expérience personnel de campeur où le matin on pouvait souvent remarquer cette rosée qui avait condensé la nuit sur la toile de la tente. 

On a voulu tout de suite faire des testes et après avoir trouver le tissus qui condensait le mieux nous avons eu l'idée de rajouté une texture, la texture que nous voulions ajouté au plastique avec le vacuum former, mais avec du fil pour favoriser le drainage et la condensation. De là, on a fait une étude sur les différents fils et leurs capacités à drainer et aussi sur la densité d fil qu'on devait mettre sur notre bâche au final. 

Nous avons essayé, en parallèle,  de produire une solution beaucoup plus low- tech. Et nous somme donc arrivé fin du quadrimestre avec deux devises semblables mais destinés à un public différent. 

je dirais que lors de ce quadrimestre et surtout dans cet atelier, j'ai du m'informer, expérimenter, ... sur une matière qui m'était pas familière. J'ai été confronté plus d'une fois à des problèmes, voir des échecs totaux. Et j'ai surtout du rebondir la dessus. Le design de pièce allant du cm change aussi des habitudes qu'on a prise depuis 4 ans et a pris le contre-pieds sur celle ci. J'ai beaucoup apprécier l'utilisation des différentes machines du Fab Lab et regrette juste de ne pas les avoir plus utilisé. L'ambiance, les échanges et la rencontre des gens de cette atelier de l'étudiant au prof qui ont contribuer au développement de chacun des projet via des discutions et des réflexions furent pour moi un vrai régal. 

Quinet Pierre