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Blog DFS 2017-2018
Introspection
Workshop Chevetogne
Cette
semaine à Chevetogne m'a permis, et à mon groupe aussi je pense,
d'avoir un premier réel contact avec l'eau sur le terrain. L'eau sur
le domaine ne manquait pas ! Elle y était présente sous plusieurs
formes. Chaque formes d'eau demandant peut-être un certain moyen
pour la capter. On a pu également y redécouvrir comment la nature
s'y prenait pour capter l'eau notamment avec la mousse et ses formes
si particulières.
Dans
le groupe, nous avons directement choisit de visiter le site pour
prendre contact avec le terrain. Le soir, ensuite, nous avons
discuté et esquissé des moyens pour récupérer l'eau et la rendre
potable. Chacun donnant un regard souvent complémentaire et un avis
différent sur la ou les meilleures méthodes pour utiliser cette
eau. Même les avis différents suscitaient un débat et une
recherche qui permettait de vérifier ou non une théorie, complétant
ainsi notre spectre de connaissances sur le sujet. Il est même
difficile de se souvenir de l'état de nos
connaissances/pré-conceptions sur l'eau et sa physique.
Étant dans le scénario cataclysme proposé par les professeurs de
l'atelier, nous devions nous fournir en eau potable avec les moyens
du bord. Nous n'avions que les objets présents dans le gîte et ce
que nous avions amené pour y passer la semaine, c'est à dire : des
produits d'entretiens, des conserves alimentaires de plusieurs
tailles, des cannettes de soda, des bouteilles en plastique, etc.
Notre Bear Grylls intérieur s'est réveillé en laissant de coter
les limitations de la vie urbaine.
J'ai
trouvé intéressants les moments que nous avons passés tous
ensemble. Cela nous a permis de prendre contact avec les gens
autrement. L'expérience d'un groupe autogéré fut instructive
malgré les quelques problèmes rencontrés. La dynamique de
présentation du soir était quelque chose essentielle à la bonne
diffusion du savoir de chacun. Sans trop de filtres, les gens nous
résumaient leurs trouvailles de la journée.