Dans un premier temps nous avions analysé la WaterPyramid car elle a un très bon rendement et fonctionne très bien dans les pays tropicaux car elle possède un double système pour récolter les eaux de pluie et distiller les eaux polluées. Or nous nous sommes rendu compte qu'il y avait quelques points faibles, notamment au niveau de la structure, de la taille et du système un peu compliqué.
Cependant, nous n'avions pas pris en compte que l'eau doit se trouver sur un matériau qui absorbe les rayonnements du Soleil, comme le sol par exemple. Car celui ci, grâce à sa forte inertie thermique, peut rediffuser la chaleur. De plus, nous avions fait la bâche en plusieurs morceaux donc il y avait surement des petites fuites d'air alors que le système doit être hermétique et malheureusement pour nous il n'y avait pas de Soleil donc l'expérience n'a pas bien fonctionné.

Nous avons vu que si notre réservoir d'eau est placé dans les airs il ne se passe rien donc il faut que notre réservoir soit placé sur un matériau qui absorbe la chaleur et la diffuse comme la terre ou peut être le béton.
Lors de notre séjour à Chevetogne nous nous sommes aussi questionné sur l'emplacement de l'appareil car il peut être un peu gênant donc nous avons pensé à le mettre sur les toits non utilisés des habitations. De plus, il y a souvent des récolteurs d'eau de pluie sur les toits que nous pourrions connecter à notre appareil pour fournir de l'eau potable aux habitations.
Nous avons également pensé à la forme de notre appareil et peut être que la forme pyramidale est un peu contraignante au niveau de sa structure. Donc nous pensons à créer une boite avec une surface transparente pour que la mise en oeuvre soit plus simple mais nous devons regarder le rendement avec les différentes formes et matériaux.