INSTROSPECTION FINALE
Bon,
maintenant on est arrivé à la fin d’un quadrimestre assez différent pour moi où
j’appris un savoir-faire tellement différent à ce qu’on a en Espagne.
D’abord,
je suis désolée pour les fautes d’orthographe en tant que je tente de
m’exprimer.
La
première chose à dire c’est que le déroulement de l’atelier m’a beaucoup étonné
car on a pris une méthode de travail très libre. On a laissé lieu à
l’imagination au même temps qu’on a pu introduire des concepts des autres
domaines, comme la physique ou dans notre cas : l’agronomie.
On
se dit souvent que l’architecture est l’un des métiers le plus complet. C’est
grâce à cet atelier que je viens de le vérifier. Peut-être on n’a pas arrivé au
résultat qu’on espérait, pourtant on a fait toute une profonde recherche avec
laquelle j’ai appris des choses vraiment inconnues pour moi auparavant, comme celle-là
du fonctionnement des Apps pour classifier des espèces végétales.
D’autre
part, je dirai que la partie du cours la plus remarquable a été celle de
travailler chacun d’entre nous dans des directions au même temps similaires et
à la fois assez différentes. C’est incroyable comment d’une idée simple (l’eau
potable) on est arrivé à nombreuses solutions.
De
plus, j’ai vraiment aimée l’expérience à Chevetogne. On a y été vraiment coupé
du monde et je n’ai pas eu l’impression d’être dans une ambiance de travail
rempli de stress, tout à fait le contraire : on y était pour apprendre,
pour s’en servir de la nature et la profiter.
À
ce point-là, il y a une chose que je regrette de ne pas avoir faire, c’est le
fait de ne pas avoir utilisé aussi bien les machines laser et 3D en tant
qu’étudiants d’architecture. D’un part, c’est notre faute car, moi, j’avais
peur de les casser et d’autre part, notre prototype n’a pas eu besoin des
éléments produits par ces machines-là. Notre prototype avait besoin des
produits qu’on a trouvé aux magasins, comme le pompe à vélo ou les chambres à
air.
Il
y a une phrase qui dit : ‘La folie c’est la répétition du même
comportement encore et encore en espérant avoir des résultats différents’.
C’est ça, on a été un petit peu folles car on a essayé la même chose plusieurs
fois en espérant des résultats différents, par contre ça n’a jamais arrivé.
Mais c’était normal parce qu’on n’avait pas la connaissance suffisante dans le
domaine pour bien savoir où on s’était
trompé. Il a suffi l’aide d’un expert pour pouvoir avancer.
Et
c’est maintenant que j’ai réalisé jusqu’à quel point il faut le soutien d’une
personne spécialisée. On était tellement coincé (même si on avait fait
plusieurs essais) et grâce à l’aide de certaines personnes on a su capable de
remonter la moral et arriver jusqu’à la fin. Une fois que j’ai laissé appart le
fait d’avoir peur d’avoir des échecs tout est devenu plus facile. D’ailleurs
j’arrive à la fin de cet atelier avec une phrase dans la tête : ‘peu
importe le résultat si tout ce que tu as fait va être utile pour des autres
personnes dans l’avenir’.