Introspection personnelle
Si j'ai choisi l'atelier DFS, c'était avant tout pour faire quelque chose de différent.
Différent des 6 quadrimestres précédents à faire de l'architecture pure et dure. La possibilité d'élargir mes connaissances hors du champ de l'architecture, et d'acquérir une méthode de fonctionner, de réfléchir différente. De plus, la possibilité de travailler avec des machines comme l'imprimante 3D ou le "lasercut" est vraiment un très bon point. Malgré le peu d'utilité que j'ai eu des machines, j'ai tout de même apprécié, et ça me permet d'avoir un bagage, une maitrise en plus.
Bien que les premières intuitions et recherches avec Pauline, mon binôme, nous ont poussés à approfondir la question de la filtration à tissus. Nous nous sommes vite rendus compte que nous étions mal embarqués. Il fallut faire de nombreux retour en arrière, et multiplier les recherches (au point de se re-questionner sur ce qu'était l'eau potable). Néanmoins, ces recherches furent bénéfiques, et nous ne regrettons pas ces aller-retours entre problèmes et solutions, ils nous ont été nécessaire pour avancer. Sans oublier que toutes les recherches effectuées, nous on permit d'avoir une plus grande connaissance du monde, sur les problématiques mondiales liées à l'eau.
L'exercice posé, ainsi que la méthode de travail en découlant et le voyage à Chevetogne, donne la possibilité aux groupes d'acquérir une dynamique de travail originale, différente de celles proposées par les différents ateliers. Les liens entre les étudiants de l'atelier sont plus fort que d'habitude, et l'envie d'aider, et de commenter le travail de l'autre se fait plus ressentir. Et puis le voyage à Chevetogne... du bon travail, de bons amis, de bonnes rigolades.... SUPER!
Bien que je ne pense pas dans le futur reprendre cet atelier, afin de continuer à expérimenter, et apprendre de nouvelles choses. Ce fut une expérience pour le moins bénéfique.
Pour cette découverte, pour l'ambiance. Merci!