L’atelier Digital
Fabrication Studio est particulier puisqu’on sort du schéma
typique du projet d’architecture. Cela permet de déconstruire et
remettre en question notre mécanismes et notre processus de travail.
En effet, on a ici l’occasion d’aboutir nos projets et les tester
concrètement. Grâce à cette échelle de travail, on a aussi un
rapport aux expériences plus direct.
Le sujet de la
récupération d’eau m’a intéressé car cela touche des
problématiques sociales et de ressources planétaire. J’ai alors
trouvé positif de mettre les connaissances en design d’élèves en
architecture au service de cette cause.
Pendant quelques
séances, nous nous somme rendu dans des laboratoires sur le campus
de la Plaine afin de se familiariser avec la physique de l’eau.
Cette étape a été le début de la rencontre entre nos
connaissances et notre méthode d’architectes, et le monde de la
recherche notamment en physique.
En se renseignant
sur les dispositifs déjà existant, j’ai été surprise du peu et
du manque de développement de systèmes existants pour un besoin
aussi primaire. Ou bien on tombe tout de suite dans des système high
tech et cher, pas du tout adapté aux personnes concernés par le
manque d’eau potable.
Les dispositifs
existants concernant la rosée, le sujet de mon groupe, sont assez
peu développés et utilisés à grande échelle mais mériterai une
plus grande attention, nous avons senti un fort potentiel en eux.
Lors de la semaine à
Chevetogne, nous étions plus proche du cycle journalier qui est
primordial pour notre projet. Quelques semaines plus tard, nous somme
a un stade plus avancé et plus aboutit, avec tout une histoire et un
vécu qui, je l’espère, se ressent dans notre projet.
Tout cela m’aura
fait construire une méthode de travail nouvelle, plus axée sur
les expérimentations. Je porterai sûrement un regard nouveau,
peut-être plus concret, sur les projets d’architecture à venir.