dimanche 7 janvier 2018

Introspection personnelle

L’atelier Digital Fabrication Studio est particulier puisqu’on sort du schéma typique du projet d’architecture. Cela permet de déconstruire et remettre en question notre mécanismes et notre processus de travail. En effet, on a ici l’occasion d’aboutir nos projets et les tester concrètement. Grâce à cette échelle de travail, on a aussi un rapport aux expériences plus direct.
Le sujet de la récupération d’eau m’a intéressé car cela touche des problématiques sociales et de ressources planétaire. J’ai alors trouvé positif de mettre les connaissances en design d’élèves en architecture au service de cette cause.
Pendant quelques séances, nous nous somme rendu dans des laboratoires sur le campus de la Plaine afin de se familiariser avec la physique de l’eau. Cette étape a été le début de la rencontre entre nos connaissances et notre méthode d’architectes, et le monde de la recherche notamment en physique.
En se renseignant sur les dispositifs déjà existant, j’ai été surprise du peu et du manque de développement de systèmes existants pour un besoin aussi primaire. Ou bien on tombe tout de suite dans des système high tech et cher, pas du tout adapté aux personnes concernés par le manque d’eau potable.
Les dispositifs existants concernant la rosée, le sujet de mon groupe, sont assez peu développés et utilisés à grande échelle mais mériterai une plus grande attention, nous avons senti un fort potentiel en eux.
Lors de la semaine à Chevetogne, nous étions plus proche du cycle journalier qui est primordial pour notre projet. Quelques semaines plus tard, nous somme a un stade plus avancé et plus aboutit, avec tout une histoire et un vécu qui, je l’espère, se ressent dans notre projet.

Tout cela m’aura fait construire une méthode de travail nouvelle, plus axée sur les expérimentations. Je porterai sûrement un regard nouveau, peut-être plus concret, sur les projets d’architecture à venir.